Comment je t'ai perdu, je n'en sais rien
Notre amitié est née un été
Nous passions notre temps à parler, à rigoler
Notre amitié est née un été
Nous passions notre temps à parler, à rigoler
Nous étions jeunes, nous étions un peu fous
A deux, nous faisions les quatre cents coups
Comme voler un journal, des lettres d'amour
A chaque fois que j'y pense, j'ai le coeur lourd
Comme voler un journal, des lettres d'amour
A chaque fois que j'y pense, j'ai le coeur lourd
Et tu as choisi de partir
Sans rien m'expliquer, sans mot dire
Tu as disparu ce jour-là
Et tu n'es jamais revenu sur tes pas
Je voudrais bien m'excuser
Mais je ne sais pas ce que je t'ai fait
Mais je ne sais pas ce que je t'ai fait
Je t'ai perdu mon ami, c'était un matin
Comment je t'ai perdu, je n'en sais rien
Mon ami, mon frère, mon confident
Mon ami, mon complice, mon copain
Je pensais que ma peine allait passer avec le temps
Mais je le vois bien, il n'en est rien
Si un jour tu as besoin de moi
Sache que je serai encore là pour toi
Sache que tu ne m'as jamais perdue
bel hommage à cet ami. En esperant qu'il le lise et comprenne...
RépondreSupprimertrès beau texte qui me touche beaucoup...
RépondreSupprimercela me rappelle un des miens sur le même sujet : http://macatou.wordpress.com/2011/09/17/deception/
nous avons vraiment des points communs ;-)
au plaisir de te lire.
Thalie